Medias
Estuaire, No 179
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En traversant les poèmes de ce numéro de la revue Estuaire, vous ne penserez jamais « que la poésie était une fête», mais peut-être chercherez-vous « à nommer ce qui se passe quand les lumières s’allument après une trop longue soirée. On y est toujours mais on est aussi ailleurs. On ne sait plus trop ce qui vient de se passer. C’était hier, puis c’est déjà demain. La confusion nous guette. La fatigue aussi, fidèle comme la nuit. Cette dureté-là ne résiste à rien et résiste à
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